A Nigerian UN peacekeeper has been killed and another injured by unidentified assailants in Timbuktu, in northern Mali, the UN says.
A separate incident in Tessalit left three Chadian peacekeepers injured.
Nearly 200 members of the UN mission have died since it was set up in 2013, making it the deadliest peacekeeping operation in the world.
Peacekeepers were deployed to Mali after Islamist militants seized the north of the country in 2012.
UN Secretary General António Guterres has condemned the attacks, saying he is "deeply saddened" over the death of the peacekeeper.
He has called on the Malian authorities to bring the perpetrators to justice, and said that targeting UN peacekeepers "may constitute war crimes".
After large swathes of northern Mali were taken by jihadists they were pushed back in a French-led military operation.
But parts of the country are still out of the government's control.
source:BBC
(French version)
Un soldat nigérian de la paix des Nations Unies tué au Mali
Un soldat nigérian de la paix des Nations Unies a été tué et un autre blessé par des assaillants non identifiés à Tombouctou, dans le nord du Mali, a annoncé l'ONU.
Un incident séparé à Tessalit a blessé trois soldats de la paix tchadiens.
Près de 200 membres de la mission des Nations Unies sont décédés depuis sa création en 2013, ce qui en fait l'opération de maintien de la paix la plus meurtrière au monde.
Des soldats de la paix ont été déployés au Mali après la prise du nord du pays par des militants islamistes en 2012.
Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a condamné les attaques, affirmant qu'il était "profondément attristé" par la mort du gardien de la paix.
Il a appelé les autorités maliennes à traduire les responsables en justice et a déclaré que le fait de viser des soldats de la paix de l'ONU "pourrait constituer un crime de guerre".
Après que des djihadistes se soient emparés de vastes étendues du nord du Mali, ils ont été repoussés dans le cadre d'une opération militaire dirigée par la France.
Mais certaines parties du pays échappent toujours au contrôle du gouvernement.